Institut Géographique du Burkina (IGB)

La référence pour tous travaux cartographiques

Cree le 24 mars 1976, l’Institut Géographique du Burkina (IGB), établissement public a caractère administratif est garant de la politique cartographique nationale qu’il conçoit et concrétise. A ce titre , il est chargé entre autres de confectionner les cartes de base et den assurer la mise a jour , détendre et de bien conserver les réseaux géodésiques et de nivellement, d’assurer la couverture la couverture du territoire burkinabè en photographies aériennes, d’exécuter en collaboration avec d’autres services compétents burkinabè et les structures homologues des pays voisins, les travaux de frontière, de réaliser à la demande de tiers des travaux topographiques , photogrammétriques et cartographiques.

L’accomplissement des différentes tâches à lui confier nécessite des moyens humains, matériels logistiques et financiers conséquents. Sans être nanti, l’IGB dispose de potentialités qui lui permettent de répondre a la satisfaction, aux attentes de la clientèle intérieure et extérieure. L’atout principal de l’IGB se situe de son potentiel humain. Un personnel qualifié et expérimenté qui se compose de spécialistes formés dans différents pays du monde (Cote d’Ivoire, Nigeria, Mali, Pays – Bas, Suisse, Russie, France et Burkina Faso)

On y trouve des ingénieurs cartographes, géodésiens, géographes, photogrammètres, informaticiens, des techniciens supérieurs, des géomètres, des opérateurs de même que des financiers et juristes. L’IGB dispose d’un service informatique qui a une capacité d’élaboration de bases de données et de cartographie automatique. Il dispose également d’un matériel de prises de vues aériennes (plus de 100 missions de prises de vues) et traitement photographique, d’un matériel cartographique et photogrammétrique et d’un matériel de travaux de terrains.

Les différentes réalisations de l’IGB en matière de travaux topographiques, cartographiques et photographiques font de lui une référence dont la renommée dépasse les frontières nationales.

David Demaison NEBIE

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